QUI

Audrey Arlettaz Maret a suivi une formation de base à l’art de conter en 2019-2021 et depuis janvier 2024, elle est conteuse indépendante. Au cours de sa formation d’animatrice socioculturelle elle a rencontré le conte lors d’un stage avec un accompagnateur en moyenne montagne. Cela l’a doucement faite basculer dans l’art de la parole. Elle a pu évoluer depuis dans cette pratique qui la passionne et qui lui permet de transmettre un patrimoine culturel et naturel auprès de la population.

Audrey est active sur la Commune de Saxon et répond à divers mandats dans le Valais Romand.

Né en 1964, Eric a grandi à Saxon, après des études de lettres à l’université de Lausanne il s’est exporté à Lausanne et Berne, comme journaliste dans la presse écrite (« Nouvelliste », « Le Temps », « L’Hebdo », « Le Matin »).

D’ un point de vue artistique, il joue du piano et d’autres instruments depuis son adolescence. En 1984-85, il a fréquenté l’École suisse de jazz à Berne. Parallèlement, il a toujours pratiqué la peinture moderne, mi-abstraite, mi-figurative. Il a aussi organisé diverses expositions et donné des concerts de piano. 

Enfin, il a édité quelques livres, notamment sur la politique ou de la poésie. Le dernier en date – “Take it easy” (2022) – est paru dans la collection Gore des Alpes.  

Ses liens avec Saxon se retrouvent surtout dans ses écrits, notamment le titre “Honte aux Fachos” (Slatkine,2012), “La disparition de la petite Lisa” (L’Aire, 2015) et “Pellaud le Nigaud et la méchanceté gratuite” (Mon Village, 2020)

Il s’est également lancé en politique, puisqu’il a été candidat indépendant au Conseil d’État valaisan en 2009, expérience dont il a tiré une aventure picaresque intitulée La Loi de la jungle.

Passionné de photographie et de musique. En tant que vice-président du Camera-Club de Martigny, il se spécialise dans l’utilisation des anciens procédés photographiques tels que le gélatino-bromure, l’ambrotype et le collodion. Il photographie les spectacles pour la compagnie Cie Les Chaises, incluant des pièces comme « La Blanchisserie ou l’essoreuse des rêves » (2010) et « Nous sommes éternels » (2007). Frédéric a également contribué à des projets éducatifs à l’UNIL, en créant des cours en ligne En 2022, il a été le cameraman et photographe pour « Des rêves mon amour » et a également immortalisé les ateliers chorégraphiques du Conservatoire cantonal.

Côté musique, Frédéric est un guitariste ayant joué dans diverses formations de jazz, ska et rock. Son parcours musical a été enrichi par une formation à l’École de Jazz et musique actuelle du Valais. Frédéric a su marier ses deux passions en réalisant également des photographies pour des films publicitaires et des courts-métrages.

Née en 1983, Laure Dupont se forme à la danse au Conservatoire de Sion avant de rejoindre l’École Atelier Rudra Béjart. Elle voyage d’une aventure artistique à l’autre comme interprète et assistante de Cisco Aznar – Compagnie Buissonnière – entre 2004 et 2013. Parallèlement, elle travaille entre autres avec Danses en l’R, la compagnie Mladha, Cocoondance, Artefackt, Dos duo Onirico. En 2002 elle reçoit le mérite sportif de la commune de Saxon et en 2008, le Prix culturel d’encouragement de l’État du Valais.

Elle fonde la Compagnie Bertha en 2014 et présente depuis ses créations sur les scènes du Valais, de l’île de la Réunion ou d’ailleurs, tout en poursuivant sa carrière d’interprète.

Sérieuse et irrévérencieuse, professionnelle et hors cadre, Laure Dupont marie la danse, la poésie, la vidéo, la peinture, la sculpture, le théâtre dans un tout intriguant, imprévu, et d’une extrême précision. Touchant tour à tour à la mémoire, l’autisme, l’extra-ordinaire, elle poursuit son inlassable exploration des mouvements.

Nicolas Torney est né en 1984 et a grandi dans le vieux village de Saxon. Passionné d’histoire(s) depuis toujours, diplôme de l’Université de Fribourg, il est actuellement délégué au patrimoine culturel de la commune de Saxon, conservateur du musée local et intervient en tant qu’acteur formateur par le jeu de rôle auprès de diverses institutions.

Engagé dans le théâtre amateur depuis de nombreuses années, il fait ses premiers pas de comédien sur la scène du Casino de Saxon, s’essaie ensuite progressivement à l’écriture et à la mise en scène au sein de plusieurs compagnies bas-valaisannes. En 2018 il est co-fondateur de l’association culturelle Créadranses (https://creadranses.com/), qu’il préside depuis 2023 et qui a pour ambition de créer des spectacles populaires favorisant la collaboration d’artistes professionnels et amateurs régionaux.

Il rejoint en parallèle la troupe des Faux-Semblant (https://www.lesfauxsemblants.ch/), spécialisée dans l’animation de repas Meurtres et Mystères, avec laquelle il se produit régulièrement en Valais et en Suisse romande.

Entre le temps qui passe et le temps arrêté, Pierre-André Milhit défriche de nouveaux territoires d’écriture. Il découvre, invente, pratique le brûlis, relate, met en jachère et s’essaie au bouturage. Il est volontiers iconoclaste, adepte de la contrainte et de la construction. Le poète de Montorge a exploré une année à treize lunes, il a remis sur le métier un poème réécrit quotidiennement, il a plongé dans la minuterie d’une journée, joué avec les nombres premiers, chanté la ritournelle de l’araignée, écrit aux résidents d’un cimetière, imaginé un itinéraire où se perdre. Curieux de toute forme d’écriture, il pratique l’art épistolier, collabore avec le spectacle vivant, avec des artistes plasticiens. Il préside la Société des Ecrivains Valaisans depuis 2018.